Ca appuie où ça fait mal (Au bon coin, café bar la slavia)
J’ai une conscience aigüe du temps qui file. A la Santé de Guillaume Appollinaire est un poème qui me touche et particulièrement ces vers : Tu pleureras l’heure où tu pleures Qui passera trop vitement Comme passe toutes les heures Au détour d’une rue de Briançon : un cadran solaire enfonce le clou du futur cercueil que je promène partout [...]
Source : Au bon coin, café bar la slavia (s’abonner)
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