Le temps “s’engrise” (Alec)

de dévastation, la nature elle-même, au complet laisserait tomber ses forces face à la distance solaire croissante. Restait à moi à ne pas sombrer dans ce même mouvement, vers cette léthargie hivernale. Tout devenant, au mieux, noir et blanc, au pire monochrome grisaillant. Je devais alors être fort et résister à l’idée d’avoir perdu cette chaleur, cette légèreté, cette volupté…

Source : Alec (s’abonner)

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