Il est des saisons (Les rêveries de Lyse)
… tourné à la nuit, la terre t ant qu’elle brûle est presque un fleuve. Eugenio de Andrade- Matière solaire (poésie Gallimard) J’ai aimé ces endroits O ù le soleil S ecrètement se laissait caresser. Où étaient passées des lèvres O ù les mains avaient couru innocentes, L e silence brûle. J’ai aimé comme on brise la pierre ; C omme on se perd D ans l’insensible floraison de l’air. Eugénio…
Source : Les rêveries de Lyse (s’abonner)
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