L’heure lue (Les Heures de Coton)

Une bibliothèque de pages cornées Et de traits de poussière sombre. Au seuil du crépuscule, nul ne peut ignorer Le frisson des pages dans la pénombre. Respirer l’odeur cendrée, presque solaire Des Heures où l’on vogue, yeux clos Croisade intemporelle et solitaire Vers le sésame rêvé d’un eldorado. S’endormir sous la fugitive caresse D’un vélin, d’un frisson d’encre, D’une autre voix où les…

Source : Les Heures de Coton (s’abonner)

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