Agora (Critique) Guerres religieuses et joyeusetés solaires (Blabla-Series)

Transition de genre ratée pour le réalisateur, Alejandra Amenàbar, qui s’était illustré dans un univers fantastique crucial, l’améliorant par ses précédentes oeuvres, Abre Los Ojos et The Others. Pour sa reconversion au cinéma historico-religieux, l’espagnol américanisé a manqué d’un peu de subtilité. Religion et Science, un rixe itératif Dès le début, Agora annonce la couleur. Le film ne sera…

Source : Blabla-Series (s’abonner)

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