Cahiers d’un autre été, IV (lignes imaginaires) (aedificavit)
… precision et se glisser dans un courant frais. Cette barque traverse mon passé, méditerranéenne et solaire, je connais celui qui d’un coup de rame, écarte les mouettes en la sortant de l’eau dans une gerbe d’éclaboussures ; les oiseaux menaçaient un grand chien noir, tournaient autour de lui et tentaient de lui crever les yeux dans le scintillement des vagues. Quand je me raconte cette…
Source : aedificavit (s’abonner)
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