A deux battants (Des poèmes et des chats)

J’ouvris à deux battants le livre du mystère. Le mur tiéde battit des ailes, la lumière Porta l’odeur des foins séchés sur la poussière Où dormait le parfum moisi de tes secrets. Les mots furent cernés par les rondes solaires Tandis que les souris dont les bouches ourlaient Et dentelaient dans l’ombre ton vocabulaire Fuyaient pour échapper au piège des reflets. Je découvris l’aveu que tu…

Source : Des poèmes et des chats

Pour en savoir + : LIRE L’ARTICLE SUIVANT

Be Sociable, Share!

Laisser une Réponse

Souscrire aux Commentaires?

You might also likeclose