La nouvelle régulation proposée est une « usine à gaz »
p class=spipstrongimg width=250 vspace=2 hspace=10 height=250 align=left src=http://www.enerzine.com/UserFiles/Image/breve11469a.jpg alt=La nouvelle régulation proposée est une « usine à gaz » /L’association professionnelle de l’énergie solaire (ENERPLAN), dénonce la surdité du gouvernement suite à la lecture du projet d’arrêté tarifaire pour l’achat de l’électricité solaire qui ignorerait emtotalement les contributions à la concertation Charpin Trink/em./strong/pp class=spipD’après l’association, la nouvelle régulation proposée est une « usine à gaz », qui va entraver le marché et menacer nombre d’entreprises du secteur. Ainsi, ules tarifs d’achat de l’électricité solaire en France, seront bientôt identiques à ceux en vigueur en Allemagne/u, avec toutefois des volumes 5 à 8 fois inférieurs et des coûts de développement 2 à 3 fois plus élevés. br /br /
Le gouvernement a repris les propositions de l’administration, emsans la moindre attention aux propositions élaborées par les parties prenantes à la concertation qui visaient à optimiser l’investissement de la collectivité, pour générer des dividendes sociaux et industriels au niveau de la filière/em, indique t’elle dans un communiqué, avant d’ajouter : emLa régulation proposée va finalement favoriser les importations de matériel mais aussi de main d’œuvre, à l’opposé de ce qui est souhaité/em.br /br /
Il apparaît également que le système d’appel à projets ne fait pas l’unanimité entre les professionnels. Ces derniers appellent à relever le plafond d’éligibilité au tarif, emde 100 à 250 kW pour les grandes toitures comme l’ont proposé les parlementaires/em. ENERPLAN demande aussi pour le développement de l’intégré au bâti un relèvement de plafond passant de 9 et 36 kW à 100 kW. br /br /
Enfin, la baisse annoncée de 20% par rapport au tarif de septembre 2010, avec en sus une baisse trimestrielle pouvant atteindre plus de 9%, emva avoir un effet dévastateur sur la filière/em, prédit l’association professionnelle, qui prône plutôt pour une baisse limitée à 12%. Car selon elle, emil n’est pas trop tard pour permettre l’émergence d’une filière industrielle innovante, à forte valeur ajoutée et compétitive sur les marchés à l’export./em/p
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