workinprogress (La Frange)

J’aurais bien aimé que quelqu’un me prévienne qu’avec la sobriété reviendraient les crises de larmes, et les doigts qui crissent, pendant les trente dernières pages d’Echine. J’aurais bien aimé que quelqu’un m’avertisse, que ce serait terrible, le soir, pas dans la douce solitude solaire d’un après-midi de 15 août à brûler devant l’eau calme. J’aurais bien aimé que quelqu’un me rappelle…

Source : La Frange

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