poeme 30 (A l’enseigne perdue)

un nouvel horizon vert et jaune les cris fusent et les mains tournent traçant la figure du géant solaire ordonne-nous d’être fous encore vert et jaune et or elle s’engloutit, la barque des morts – Il y en a deux qui se sont embrassés Et deux qui ont avalé le soleil Ils chantaient, mes amis, sur quelques ponts Ils chantaient de très vieilles chansons Ils se sont embrassés, ont avalé le

Source : A l’enseigne perdue (s’abonner)

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