comme une ombre (arnaud maïsetti | carnets)
Il faudrait tapisser la ville de cadrans solaires : qu’à la place des noms de rues, on dispose de l’heure qu’il fait – que cette heure tracée par un doigt de lumière et d’ombre nomme le temps qu’on passe cette rue et ce temps, qui passerait avec nous, et qu’on emporterait ; et ainsi dans chaque ville, de chaque pays, ces cadrans solaires qui parleraient la même langue, celle qui…
Source : arnaud maïsetti | carnets
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