Madrigal d’été… (“double je “)
Presse ta bouche pourpre sur la mienne, Etoile, la gitane ! Et sous l’or solaire du grand midi Je mordrai à la pomme. Par les verts oliviers de la colline, Il est une tour maure Qui rappelle le teint de ta peau brune Fleurant miel et aurore. Ton corps brlé au soleil me dispense Le divin aliment Qui fait fleurir le cours d’eau apaisé Et s’étoiler [suite...]
Source : "double je " (s’abonner)
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