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Areva & Gamesa visent 20% du marché européen de l’éolien en mer (2020)

Areva & Gamesa visent 20% du marché européen de l'éolien en mer (2020)Finalisant les négociations exclusives entamées en janvier dernier, Gamesa et Areva ont signé lundi des accords officiels qui permettront la création d’un leader mondial de l’éolien en mer.

Cette nouvelle société va être positionnée pour devenir un acteur majeur de l’éolien en mer avec un portefeuille de projets de 2,8 GW et l’objectif de remporter près de 20% de part de marché en Europe d’ici à 2020.

La réalisation de l’opération devrait intervenir d’ici la fin de l’année.

La co-entreprise, détenue à parts égales par les deux groupes, réunira leurs atouts respectifs dans l’éolien en mer : “expertise en matière de technologie et de fabrication, expérience opérationnelle dans l’industrie éolienne.

Areva a développé depuis 2004 une turbine dédiée à l’éolien en mer. Celle-ci atteindra une capacité installée de 630 MW prévue à la fin 2014.

Gamesa apportera son savoir-faire technologique ainsi qu’un apport d’actifs évalués à 195 millions d’euros :

  • éolienne en mer de 5 MW ;
  • transfert de connaissances en R&D sur l’éolien en mer et une licence technologique dans le domaine de l’éolien terrestre qui pourra être appliquée à l’éolien en mer ;
  • des processus d’exploitation et de maintenance étendus, avec une capacité terrestre de 20 GW en maintenance ;
  • savoir-faire industriel et une expertise dans la «supply chain».

Areva apportera des actifs évalués à 280 millions d’euros :

  • éoliennes en mer de 5 MW et 8 MW ;
  • portefeuille de projets de 2,8 GW (il s’agit du deuxième portefeuille le plus important sur le marché de l’éolien en mer) ;
  • transfert de connaissances en R&D et en ingénierie dans l’éolien en mer ;
  • sites de fabrication et un savoir-faire logistique dédiées à l’éolien, notamment ses usines allemandes de Bremerhaven (assemblage d’éoliennes) et de Stade (fabrication de pales).

Les accords engageants envisagent également la possibilité de faire de Gamesa un fournisseur privilégié de certains composants fournis à la coentreprise.

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“Le plus grand parc solaire de Languedoc Roussillon”

La société juwi EnR a inauguré le 4 juillet un parc agri-solaire de 87 hectares à Ortaffa (Pyrénées-Orientales), qui permettra de produire 35 millions de kWh.

Lauréat du premier appel d’offres photovoltaïque émis par la Commission de Régulation de l’Energie (CRE) en 2012, le parc d’Ortaffa est un projet de territoire alliant production d’énergies renouvelables et redynamisation de l’activité agricole.

Implanté sur un terrain à faible valeur agronomique occupé auparavant en grande partie par des friches viticoles (terrain pauvre, bas-fonds humides et sableux), il accueille sur son site des activités d’apiculture et d’élevage ovin. De plus, 43 hectares de vignes ont été replantés sur de meilleurs terroirs des alentours en AOC et IGP pour compenser les parcelles arrachées.

S’inscrivant dans la mise en œuvre d’une politique qui réponde aux défis de la transition énergétique, le parc d’Ortaffa est le plus grand parc solaire de Languedoc-Roussillon et le 6ème plus grand parc solaire de France.

Un projet de territoire exemplaire

La préservation de l’environnement est au cœur de la conception du parc. Tout a été pensé pour permettre une cohabitation harmonieuse entre le parc et une agriculture respectueuse de l’environnement : découpage du parc en 10 enclos pour respecter les spécificités naturelles du site (fossés, haies, talus, ruisseaux…), certification ISO 14001 du chantier avec la mise en place d’une charte chantier vert, semis d’espèces fourragères et mellifères locales, entretien naturel du parc grâce aux moutons, installation de ruches….

Le parc solaire, composé de 300.000 panneaux pour une puissance installée de 25 MWc, permettra de produire 35 millions de kWh. Il alimentera chaque année l’équivalent de plus de 15.000 habitants en électricité locale et renouvelable, tout en évitant l’émission de plus de 10.000 tonnes de CO2 dans l’atmosphère, à production équivalente avec des ressources fossiles.

Outre les installations solaires, le parc accueille des activités d’apiculture et d’élevage ovin. Les espaces mis à disposition des brebis Rouge du Roussillon, une race reconnue comme « en danger maintenue », et l’abeille noire du Roussillon, contribuent au soutien et à l’essor de deux espèces locales. Les 43 hectares de vignes AOC et IGP qui ont été replantés sur de meilleurs terroirs permettront aux viticulteurs concernés de se lancer notamment dans l’agriculture biologique et d’assurer le maintien de leurs exploitations.

Le parc agri-solaire d’Ortaffa est l’un des premiers parcs àêtre construits parmi les lauréats de l’appel d’offres CRE émis en 2012.

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Le PDG d’EDF utilise des “informations inexactes” concernant le solaire

Le PDG d'EDF utilise des Le collectif de 12 PME industrielles dans le domaine de l’énergie solaire (G12), s’est dit étonné des chiffres avancés lors de son audition du 24 juin au Sénat par M. Henri Proglio, PDG d’EDF, concernant le coût de production de l’énergie photovoltaïque.

Lors de son audition par la Commission des affaires économiques et la Commission du développement durable du Sénat, M. Henri Proglio a déclaré que le coût de production de l’énergie photovoltaïque était aujourd’hui de “180 à 250 euros [par MWh], sans compter l’intermittence qui oblige à adosser cette production sur des réseaux et des moyens thermiques, ce qui en augmente le coût d’environ 30%“.

Le G12 s’étonne que le PDG d’EDF utilise des chiffres qui ne “correspondent plus à la réalité”. En s’appuyant sur les tarifs pratiqués lors des derniers appels d’offres il est plutôt question de 90 à 110 euros/MWh pour les installations au sol et de 140 à 165 euros/MWh pour les installations sur toiture.

Par ailleurs, toujours selon le collectif, une fois l’investissement initial amorti, soit après 20 années, le coût de l’énergie photovoltaïque est particulièrement compétitif en raison de coûts d’exploitation plus faibles par rapport aux autres types d’électricité. Le coût du photovoltaïque est dans cette seconde phase de l’ordre de 25 €/MWh contre 58,8 €/MWh pour l’EPR par exemple, selon une estimation de la Cour des Comptes.

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EDF EN met en service 2 centrales solaires dans l’état du Massachusetts

EDF EN met en service 2 centrales solaires dans l'état du MassachusettsAvec 350 MWc de projets développés en Amérique du Nord, EDF Energies Nouvelles poursuit le déploiement de son activité solaire et annonce les mises en service des centrales de Lepomis et de Lancaster par sa filiale locale, EDF Renewable Energy.

Globalement, elles totalisent une capacité installée de près de 12 MWc.

La centrale solaire de Lancaster située à 80 km de Boston, est composée de 19.000 panneaux photovoltaïques pour 5,86 MWc de puissance installée. La ville de
Billerica bénéficie de l’électricité produite dans le cadre d’un contrat de vente à long terme.

La centrale solaire de Lepomis à proximité de Plymouth, totalise 20.000 modules d’une capacité de 5,99 MWc. L’électricité générée alimente la ville de Wareham dans le
cadre d’un autre contrat de vente à long terme.

La filiale américaine du groupe EDF Energies Nouvelles va assurer l’exploitation-maintenance de ces deux centrales solaires.

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Des scientifiques découvrent le secret des panneaux solaires organiques

Des scientifiques découvrent le secret des panneaux solaires organiquesDes chercheurs de l’Université de Montréal, du Science and Technology Facilities Council, de l’Imperial College London et de l’Université de Chypre ont déterminé comment les rayons de lumière excitent les structures chimiques des panneaux solaires organiques, leur permettant de produire des charges.

En effet, jusqu’à maintenant, les scientifiques ne savaient pas exactement ce qui se passait dans les panneaux solaires en plastique, rendant compliqué l’amélioration de leur rentabilité, ce qui empêche ainsi l’utilisation répandue de la technologie.

« Nos conclusions sont d’une grande importance pour la compréhension des mécanismes fondamentaux, à l’échelle moléculaire, de tous les systèmes de conversion de l’énergie solaire. Nous avons fait de grands progrès vers l’aboutissement d’une quête poursuivie activement depuis des dizaines d’années», explique l’auteure principale de l’étude, Françoise Provencher, de l’Université de Montréal. Les conclusions ont été publiées dans Nature Communications**.

Les chercheurs ont examiné les principes fondamentaux à l’origine des réactions qui définissent le fonctionnement des dispositifs de conversion de l’énergie solaire, en étudiant le nouveau type de diodes photovoltaïques basées sur un assemblage de semi-conducteurs polymériques et de dérivés de fullerène.

Les polymères sont de grandes molécules composées d’un grand nombre de petites structures moléculaires du même type. On les dit “organiques” parce qu’ils sont composés d’atomes qui entrent également dans la composition des molécules nécessaires à la vie (carbone, azote, soufre). Un fullerène est une molécule en forme de ballon de football, composée d’atomes de carbone. «Dans ces dispositifs et d’autres semblables, l’absorption de la lumière entraîne la formation d’un électron et d’une espèce chargée positivement. Afin de produire de l’électricité, ces deux espèces doivent se séparer et l’électron doit migrer loin de la charge positive. Si l’électron ne peut s’éloigner assez rapidement, les deux charges positive et négative se recombinent simplement et le processus ne produit pas d’électricité. L’efficacité générale des dispositifs solaires dépend du nombre de paires de charges qui se recombinent par rapport à celles qui se séparent », ajoute Sophia Hayes de l’Université de Chypre, dernière auteure de l’étude.

Le travail de l’équipe a permis de tirer deux importantes conclusions.

«Nous avons eu recours à la spectroscopie Raman stimule´e femtoseconde, précise Tony Parker du Central Laser Facility du Science and Technology Facilities Council. La spectroscopie Raman stimule´e femtoseconde est une technique laser ultrarapide de pointe qui fournit des détails sur les changements structuraux des liens chimiques pendant les réactions chimiques extrêmement rapides. Le laser donne de l’information sur la vibration des molécules alors qu’elles interagissent avec les impulsions de la lumière laser.»

Des calculs d’une grande complexité sur ces vibrations ont permis aux scientifiques de confirmer l’évolution des molécules. D’abord, ils ont découvert qu’une fois l’électron libéré du centre positif, le réarrangement moléculaire rapide doit réassembler les produits finaux en environ 300 femtosecondes (0,0000000000003 s).

Une femtoseconde correspond à un quadrillième de seconde : une femtoseconde est à une seconde ce que la seconde est à 3,7 millions d’années. La promptitude et la vitesse augmentent et aident à maintenir la séparation de charge.

Ensuite, les chercheurs ont noté que tous les processus de relaxation et de réorganisation moléculaire à la suite de la séparation de charge initiale, comme constaté au moyen de la spectroscopie Raman stimule´e femtoseconde, doivent être extrêmement petits.

«Nos conclusions ouvrent la voie pour d’autres recherches qui permettront de comprendre les différences entre les systèmes qui produisent des cellules solaires efficaces et les systèmes qui devraient présenter la même efficacité, mais qui n’ont pas un aussi bon rendement. Il ne fait aucun doute qu’une meilleure compréhension de ce qui fonctionne bien et moins bien permettra la conception de panneaux solaires améliorés», affirme Carlos Silva, de l’Université de Montréal, auteur en chef de l’étude.

** L’article « Direct observation of ultrafast long-range charge separation at polymer–fullerene heterojunctions » a été publié dans Nature Communications le 1er juillet 2014

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Le redémarrage des centrales nucléaires au Japon est encore en question

Le redémarrage des centrales nucléaires au Japon a été remis en question récemment par un plan d’évacuation peu convaincant.


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Eolien : Alstom signe son premier contrat en Pologne

Alstom a annoncé la signature d’un contrat d’environ 80 millions d’euros avec PGE Energia Odnawialna S.A, pour la fourniture de 30 éoliennes destinées au parc ‘Lotnisko 90 MW’, qui sera implantéà Kopaniewo en Pologne.

D’une puissance totale de 90 MW, ce parc dont la mise en service est prévue fin 2015, constituera l’un des plus importants projets éolien en Pologne, et le premier projet éolien réalisé par Alstom dans ce pays.

Le contrat inclut la gestion du projet ainsi que la fourniture, l’installation et la mise en service de 30 éoliennes ECO 110 de 3 MW d’Alstom, équipées d’un rotor de 110 mètres de diamètre, d’un mât en acier de 90 mètres et d’un système de contrôle à distance SCADA. Alstom précise qu’il assurera également l’exploitation des éoliennes ainsi que leur maintenance pendant 2 ans.

Ce contrat portant sur la livraison de 30 éoliennes ouvre une nouvelle voie dans la coopération sur le long terme entre nos deux entreprises. Nous sommes convaincus que les compétences d’Alstom en Pologne dans le secteur des énergies conventionnelles, combinées avec la technologie éprouvée de l’éolienne ECO 110, se traduiront par une exécution efficace du contrat et garantiront la réussite d’Alstom sur le marché de l’éolien polonais“, a déclaré M. Krzysztof Muller, Directeur du Département Investissements de PGE Energia Odnawialna S.A. Lotnisko s’inscrit dans la stratégie de PGE ayant pour objectif d’atteindre 234 MW de capacité en parcs éoliens d’ici 2016.

Alstom est fier d’apporter sa contribution au projet et confirme ainsi son engagement en faveur du développement du secteur éolien et de l’élaboration d’un mix énergétique durable en Pologne. Bénéficiant d’une longue expérience dans les projets d’énergie ainsi que des ressources locales, Alstom jouera également un rôle actif dans la mise en œuvre du projet“, a déclaré Yves Rannou, Senior Vice-Président du pôle Eolien d’Alstom.

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Photovoltaïques sur bâtiment : les 193 lauréats de l’appel d’offres

Photovoltaïques sur bâtiment : les 193 lauréats de l'appel d'offresLa ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie avait saisi la Commission de régulation de l’énergie (CRE) début juin pour recueillir son avis sur le choix des lauréats portant sur des installations photovoltaïques sur bâtiment de puissance crête comprise entre 100 et 250 kWc.

L’appel d’offres porte sur la réalisation et l’exploitation d’installations photovoltaïques pour une puissance cumulée maximale de 120 MWc, soit une année d’objectifs. Il est divisé en trois périodes de candidature d’une puissance cible de 40 MWc chacune. La notation des candidats se fonde uniquement sur les critères «prix » et «évaluation carbone ».

Pour la deuxième période, 706 dossiers ont été déposés dans les délais impartis, soit avant le 28 février 2014, pour une puissance de 144,2 MWc. Pour atteindre la puissance cible de 40 MWc, la CRE a instruit 247 dossiers.

Les 197 dossiers instruits et complets ont été classés conformément au cahier des charges, qui prévoit que « la dernière offre retenue, ou les dernières en cas de candidats ex-aequo, pourra conduire au dépassement de la puissance appelée dans chacune des périodes de candidature ». La puissance cumulée de ces
dossiers s’élève à 40,9 MWc.

193 lauréats retenus

Ségolène Royal a désigné le 27 juin les 193 lauréats de la deuxième période de l’appel d’offres pour développer des installations photovoltaïques de moyenne puissance (100 à 250 kilowatts crête). Tous ces projets représentent une puissance supplémentaire totale de 40,7 mégawatts crête.

Le prix de vente moyen pour cette deuxième période de l’appel d’offres a baissé de près de 2 % par rapport à la première et s’élève à 165,2 € par mégawattheure.

L’évaluation carbone simplifiée de ces projets est de 470,2 kg eq CO2 / kWc en moyenne. La CRE estime les charges de service public induites par ces projets à environ 5,06 M€/an, soit 101,2 M€ sur 20 ans.

Aussi, afin de maintenir le développement de ces capacités photovoltaïques, la ministre lancera d’ici la fin de l’année un nouvel appel d’offres pour ces installations de taille intermédiaire.

les 193 lauréats de l'appel d'offres les 193 lauréats de l'appel d'offres
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Des drones pour inspecter et maintenir les centrales photovoltaïques

Des drones pour inspecter et maintenir les centrales photovoltaïquesBouygues Energies & Services a décidé de faire appel à une nouvelle technologie au service de l’efficacité et de la sécurité de la maintenance des centrales photovoltaïques : “le drone pour diagnostic thermique

Utilisés pour la première fois sur la plus importante centrale photovoltaïque au sol d’Ile-de-France, la centrale de Sourdun de la Générale du Solaire, les drones permettent de détecter de manière plus rapide, sûre et fiable les cellules photovoltaïques défectueuses.

Ils permettent ainsi, grâce à l’analyse des données, de définir de meilleures recommandations dans les plans de maintenance.

Le diagnostic thermique par les drones

Dans le cadre de son mandat d’exploitation, Bouygues Energies & Services va réaliser pour la première fois un diagnostic thermique par drone sur la plus grande centrale photovoltaïque au sol en Ile-de-France. D’une puissance de 4,5MWc la centrale produit annuellement 4.800 MWh, soit l’équivalent en consommation d’électricité d’une ville de 2.000 habitants.

Les drones vont ainsi permettre de détecter de manière rapide et précise les cellules photovoltaïques défectueuses des 18.700 panneaux solaires de la centrale, grâce à leurs caméras thermiques fixées sur une nacelle géo-stabilisée.

Ensuite, le système de relevé topographique Bouygues Energies & Services va autoriser également de programmer les vols automatiques, sans pilotage humain, pour contrôler les 4 hectares de panneaux photovoltaïques.

Une meilleure maîtrise des délais, des coûts et des risques

Cette technologie automatisée permet d’inspecter les ouvrages sans arrêt d’exploitation (lignes haute tension et panneaux photovoltaïques) et de réduire les risques humains encourus sur les chantiers, les coûts d’étude associés, ainsi que le temps consacré aux prises de vue.

L’utilisation de drones à des fins de contrôles thermiques sur les fermes photovoltaïques de grandes dimensions, au sol ou sur toiture, s’avère être le moyen le plus efficace pour identifier rapidement et précisément les éventuels défauts sur les capteurs solaires. Les opérations de dépannages s’en trouvent donc facilitées et permettent ainsi de garantir dans le temps les performances de nos centrales solaires. Cette technologie prometteuse n’en est encore qu’à ses débuts et porte en elle la promesse de développements considérables pour l’avenir” a déclaré Daniel Bour, Président de La générale du Solaire.

D’autres applications possibles du drone : l’inspection technique, le suivi de chantier et les relevés de terrain

Assurant des missions allant de la prise de vue aérienne à des relevés topographiques couvrant plusieurs km2, Bouygues Energies & Services a développé une logistique de pointe pour répondre aux projets d’inspection technique, de suivi de chantier et de relevés de terrain sur les bâtiments ou encore les lignes haute tension.

Equipés de caméras vidéo Haute Résolution et de caméras thermiques, les vols d’acquisitions de données permettent de recueillir et d’analyser des informations précises et volumineuses.

La conception et la proposition de solutions innovantes est un axe stratégique de notre offre de services : d’une part pour garantir, avec toujours plus de fiabilité, la pérennité et la performance des infrastructures de nos clients ; d’autre part, pour en optimiser la performance énergétique dans une logique d’amélioration continue” a conclu Jean-Philippe Trin, PDG de Bouygues Energies & Services.

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Une centrale photovoltaïque de 20 mégawatts au Burkina Faso

Une centrale photovoltaïque de 20 mégawatts au Burkina FasoL’entreprise canadienne Windiga Énergie et le gouvernement du Burkina Faso ont signé une convention d’appui à l’investissement permettant à Windiga de devenir le premier producteur d’énergie solaire indépendant dans le pays.

Ainsi, une centrale photovoltaïque de 20 mégawatts située à Zina dans la province du Mouhoun sera construit et opérée par l’allemand Siemens EnergySmart Generation Solutions.

Cette première centrale solaire qui sera la plus importante centrale solaire en Afrique subsaharienne devrait être achevée à la fin de l’année prochaine. Elle fait partie d’un projet qui compterait, parmi ses potentiels bailleurs de fonds, la Banque africaine de développement (BAD) ainsi que Frontier Markets Fund Managers et Emerging Africa Infrastructure Fund.

Cette signature permettra également de conclure une entente d’achat d’électricité avec la Société Nationale d’électricité du Burkina (SONABEL) pour la totalité de la production d’électricité de cette centrale pendant 25 ans.

Ce projet de 50 millions de dollars contribuera à supporter les besoins d’énergie du Burkina Faso” a déclaré Edward Fast, Ministre du Commerce international du Canada de passage au Burkina Faso dans le cadre d’une mission commerciale en Afrique. “Nous sommes très heureux de l’appui obtenu par les gouvernements du Burkina Faso et du Canada qui nous a permis de conclure une entente stratégique qui aboutira à la construction d’un important projet d’énergie renouvelable et au lancement de la filière solaire au Burkina Faso », a déclaré Benoit La Salle, Président et chef de la direction de Windiga Énergie. “Cette centrale électrique contribuera également au développement économique de la région en employant environ 150 travailleurs Burkinabé durant la phase de construction.

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