Archives: Actualités solaire

Theolia céde un projet éolien (21 MW) à sa société d’investissement

Theolia céde un projet éolien (21 MW) à sa société d'investissementPoursuivant sa stratégie de co-investissement qui lui permet de se développer, tout en optimisant l’utilisation de ses fonds propres, Theolia a vendu le projet éolien de la Haute Borne à sa société d’investissement ‘Theolia Utilities Investment Company‘.

Le projet éolien de la Haute Borne se situe sur le territoire des communes de Languevoisin-Quiquery, Breuil et Billancourt, dans le département de la Somme. Il comprend 7 éoliennes d’une puissance nominale de 3 MW, soit une capacité totale du parc de 21 MW.

Conformément au calendrier prévu, les travaux de construction ont débuté au cours du 1er trimestre 2014 et l’accord de financement de ce projet a été conclu en avril 2014.

Créé en août 2011, le véhicule d’investissement Theolia Utilities Investment Company est détenu à 40 % par Theolia qui en assure la gestion opérationnelle. Ainsi, après cette cession, Theolia conserve une participation indirecte dans le projet de la Haute Borne et est en charge de la construction puis de l’exploitation du parc pour le compte du véhicule d’investissement.

Theolia Utilities Investment Company détient déjà 2 parcs éoliens en exploitation pour une capacité de 33,4 MW. Après la mise en service du parc de la Haute Borne, prévue au second semestre 2015, Theolia Utilities Investment Company détiendra 54,4 MW en exploitation.

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DiGeSPo : un système solaire pour les besoins des petits bâtiments

Digespo : un système solaire pour les besoins des petits bâtimentsEn puisant dans la ressource énergétique la plus renouvelable de la planète, les maisons et lieux de travail pourraient bientôt subvenir à leurs propres besoins : Les foyers et les bureaux représentent 40% de la consommation d’énergie en Europe.

Le projet de recherche DiGeSPo (« Distributed CHP generation from small size concentrated solar power ») a développé une énergie solaire unique qui utilise des miroirs avec un système de localisation permettant de concentrer les rayons du soleil en un seul point et de convertir l’énergie lumineuse en énergie thermique dans le but qu’un moteur Stirling produise de l’électricité.

Cette technologie devrait permettre aux bâtiments de générer leur propre électricité et de gérer leurs besoins en matière de chauffage et de climatisation, tout en renforçant la compétitivité du marché européen de l’énergie solaire.

Le projet est géré par la fondation italienne Bruno Kessler et des intervenants en provenance de Suède, de Malte, du Royaume-Uni et d’Allemagne.

La production d’électricité génère une grande quantité de chaleur généralement perdue dans l’environnement. L’exploitation de cette énergie thermique pour réchauffer les bâtiments dans les systèmes de production combinée chaleur et électricité (cogénération) est une méthode très efficace permettant de fournir de l’énergie sur place ou à proximité. Grâce à la production d’énergie locale, les pertes d’efficacité par le processus de distribution sont éliminées.

Digespo : un système solaire pour les besoins des petits bâtiments

La cogénération ne préconise aucun combustible particulier, ce qui signifie qu’elle fonctionne avec des combustibles fossiles ou des formes d’énergie renouvelables ayant une efficacité variable. Un concept gagnant du terrain est l’utilisation d’énergie solaire concentrée (ESC) qui exploite les miroirs pour concentrer les rayons du Soleil, transformant l’énergie solaire en énergie de chauffage et pour l’utiliser pour le fonctionnement des turbines en vue de générer de l’énergie électrique.

Digespo : un système solaire pour les besoins des petits bâtiments

[ Moteur Stirling ]

De nombreux progrès techniques ont été réalisés dans le domaine des miroirs cylindro-paraboliques à grande échelle. Les scientifiques procèdent à la modification et au renforcement des composants pertinents ainsi qu’à l’intégration d’un moteur thermique innovant pour des applications à petite échelle dans le cadre du projet DIGESPO, financé par l’UE. L’objectif est de développer un système de micro-cogénération d’ESC capable de fournir de l’électricité, des techniques de chauffage et de refroidissement pour des petits bâtiments comme les domiciles de particuliers, les appartements et les bureaux publics et commerciaux.

Les chercheurs ont apporté d’importantes améliorations au système et au moteur d’ESC et se rapprochent de la phase de démonstration. Ils ont produit un revêtement haute absorption innovant amélioré qu’ils sont parvenus à intégrer dans des récepteurs solaires à grande échelle. De nouveaux miroirs flexibles pour l’optique concentrée ont renforcé l’efficacité optique et le système complet a été intégré dans quatre modules entiers. Des scientifiques fabriquent un nouveau moteur de densité thermique à haute énergie et le site de démonstration attend son arrivée pour une intégration immédiate.

Le projet DIGESPO espère fournir une technologie solaire de micro-cogénération d’ESC innovante garantissant une efficacité générale de plus de 65% d’électricité, de chauffage et de refroidissement pour les petits bâtiments.

Le Soleil est la source d’énergie la plus renouvelable au monde. Son exploitation pour la mise en place d’une solution complète pour les petits bâtiments est une option à prendre en considération.

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Alstom fournira 19 éoliennes ECO 122 à CPFL Renováveis au Brésil

Alstom fournira 19 éoliennes ECO 122 à CPFL Renováveis au BrésilAlstom a annoncé avoir signé un contrat avec CPFL Renováveis pour la fabrication, l’installation et la mise en service de 19 éoliennes ECO 122 sur le complexe de Pedra Cheirosa, situé dans l’État du Ceará, au nord-est du Brésil.

Le contrat a été signé dans le cadre de la procédure d’enchères** A-52 au Brésil, qui concerne des projets devant être opérationnels dans les 5 prochaines années. L’exploitation commerciale de ces éoliennes est prévue pour décembre 2017.

Il s’agit du premier projet éolien mené conjointement par Alstom et CPFL Renováveis. Les parcs éoliens généreront 50 MW, soit une puissance suffisante pour alimenter en énergie près de 100.000 personnes. Les éoliennes ECO 122 seront produites dans l’usine de fabrication d’Alstom située à Camaçari (État de Bahia).

Le Brésil continue de tirer parti du potentiel considérable du pays en matière d’énergie éolienne. Le partenariat noué avec CPFL Renováveis confirme notre stratégie locale, qui vise à promouvoir les sources d’énergie renouvelables, les projets durables ainsi que la création d’emplois” a déclaré Yves Rannou, Vice-president Senior de l’activitééolienne d’Alstom.

Alstom précise pour sa part que plus de 2.600 éoliennes sont actuellement installées ou en cours de construction dans plus de 200 parcs éoliens et produisent plus de 5 000 MW.

* L’une des principales entreprises spécialisées dans les projets d’énergies renouvelables au Brésil
** La procédure des enchères A-5 est menée par l’Agence nationale brésilienne de l’énergie électrique (Aneel), dont l’objectif est de répondre à la future demande d’énergie des consommateurs brésiliens.

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L’énergie nucléaire, bientôt plus coûteuse que l’énergie renouvelable en France

L’énergie nucléaire sera bientôt plus coûteuse que l’énergie renouvelable en France, du fait de la baisse du prix de cette dernière et des investissements considérables devant être réalisés pour accroître les standards de sécurité des centrales atomiques.


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Eolien en mer : fin de l’installation du parc allemand de Trianel Borkum

Eolien en mer : fin de l'installation du parc allemand de Trianel BorkumLes 40 éoliennes AREVA M5000 de 5 MW du champ marin allemand de Trianel Borkum ont été installées avec succès en Mer du Nord par Trianel a confirmé le géant du nucléaire Areva.

Situéà 52 kilomètres des côtes allemandes, ce parc d’une capacité actuelle de 200 MW s’étend sur une surface de 56 km². L’énergie produite annuellement a été estimée à 750 GWh pour une durée d’utilisation comprise entre 3.500 à 4.000 heures. L’investissement aura nécessité 800 millions d’euros de capital.

Ce parc ne devrait toutefois constituer que la première étape permettant d’atteindre à terme 400 MW, soit le double d’éoliennes (2 x 40 / 2 x 200 MW).

Ce succès démontre l’expertise d’Areva dans le secteur de l’éolien en mer. Le groupe dispose désormais d’une base installée dépassant 230 MW, dont 30 MW sont en exploitation depuis 2009 sur le parc alpha ventus situé en mer du Nord” a déclaré Luc Oursel, Président du Directoire d’AREVA. “Lorsque les 80 éoliennes du parc Global Tech 1 seront installées en mer du Nord, le tiers de la capacitééolienne marine de l’Allemagne sera équipé de la technologie d’Areva.”

Eolien en mer : fin de l'installation du parc allemand de Trianel Borkum

A la fin de l’année 2014, Areva aura installé 120 éoliennes en Allemagne. Celles-ci alimenteront environ 600.000 foyers en électricité.

En mai dernier, Areva et ses partenaires ont remporté en France les champs du Tréport (Haute-Normandie, 500 MW) et des îles d’Yeu et Noirmoutier (Pays de la Loire, 500 MW), qui seront équipés de la nouvelle turbine Areva de 8 MW. S’y ajoute le champ de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor, 500 MW) remporté en 2012.

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Namibie : un démonstrateur photovoltaïque à concentration à Usib

Namibie : un démonstrateur photovoltaïque à concentration à UsibSitué près de Rehoboth, à 80 km au sud de Windhoek en Namibie centrale, le démonstrateur photovoltaïque à concentration (CPV) d’Usib a été inauguré officiellement lundi par le ministre namibien des Mines et de l’Énergie.

Cette centrale CPV de 26 kilowatts, qui comprend 2 systèmes CPV, est le fruit d’un accord de coopération entre la société française Soitec, l’un des principaux fabricants mondiaux de modules CPV, et NamPower, compagnie d’électricité nationale de la Namibie. La centrale produit de l’électricité solaire qui alimente l’école primaire d’Usib et un système de pompage pour l’irrigation du potager de la communauté locale.

Selon les termes de l’accord de coopération, NamPower, qui a sélectionné le site de la centrale et assuré le lien avec les parties prenantes concernées, assurera à partir de juillet 2015 l’exploitation et la maintenance des systèmes CPV pendant une durée de 18 ans. Pour sa part, Soitec, qui a construit la centrale et qui en assure actuellement l’exploitation, transférera alors le savoir-faire nécessaire et les activités d’exploitation et de maintenance du site à NamPower.

Lors de son discours, M. Isak Katali, ministre namibien des Mines et de l’Énergie, a souligné que ce projet était un exemple concret d’«énergie renouvelable en action». Il a ainsi déclaré : “Des projets comme celui-ci démontrent clairement qu’il existe de nombreuses opportunités pour des projets d’énergie renouvelable à petite échelle. La Namibie bénéficie d’un potentiel considérable de ressources en énergies renouvelables, avec un ensoleillement direct d’environ 3 000 kWh/m2 par an dans certaines régions de Namibie qui sont parmi les meilleures du monde, et offre ainsi des opportunités aux foyers non connectés au réseau électrique national.

Aussi le gouvernement demeure-t-il mobilisé pour soutenir les technologies utilisant les énergies renouvelables, en complément des sources d’énergies conventionnelles. Les producteurs indépendants d’électricité (Independent Power Producers – IPP) solaire, éolienne et issue de la biomasse sont ainsi fortement encouragés à investir dans des projets tels que celui-ci.

Le plan directeur pour l’électricité en milieu rural (Rural Electricity Master Plan) que promeut mon ministère a identifié des zones où l’électrification restera un défi dans un avenir prévisible et où l’électricité solaire est, donc, la solution. J’aimerais ainsi appeler les partenaires de ce projet à en envisager la réplique dans d’autres zones ad hoc, particulièrement dans les villages reculés de notre pays, très éloignés du réseau national. J’ai conscience des enjeux financiers majeurs de tels projets, mais n’en reste pas moins convaincu que ces défis peuvent être relevés au moyen de partenariats adaptés“.

Notre technologie CPV est parfaitement adaptée aux pays, qui, comme la Namibie, bénéficient d’un fort ensoleillement direct. Dans ces régions, notre technologie – que nous avons déjà installée dans plus de 20 pays – atteint un rendement énergétique de 32 % au niveau des modules” a indiqué pour sa part José Bériot, vice-président du développement des projets Europe et Afrique de la division Énergie solaire de Soitec.

Avant d’ajouter : “Depuis que la centrale a été raccordée au réseau en juillet 2013, elle produit en moyenne 136 kWh par jour, de sorte que l’école et la communauté d’Usib ne consomment plus que 4,6 kWh par jour d’électricité fournie par le réseau. Nous sommes très fiers de ce projet, qui illustre parfaitement la manière dont notre technologie CPV peut contribuer au développement social et économique en Afrique, où Soitec est fortement engagé“.

M. Paulinus Shilamba, directeur général de NamPower, a souligné que NamPower avait fait beaucoup ces dernières années pour promouvoir l’utilisation des sources d’énergies renouvelables et a indiqué que l’entreprise continuerait de le faire afin d’augmenter jusqu’à un niveau optimal la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique de la Namibie.

Se référant à la centrale CPV d’Usib de 26 kW, il a déclaré : “Ce projet s’inscrit parfaitement dans cette démarche car il offre le cadre technologique et les conditions nécessaires au succès du transfert et du déploiement de cette technologie spécifique d’énergie renouvelable pour la génération d’électricité en réseau. C’est également un bon exemple de la façon dont le secteur de l’énergie peut apporter une contribution significative au développement socio-économique de notre pays en utilisant l’énergie solaire, une ressource naturelle dont la Namibie est dotée en abondance“.

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Solaire chinois : “violation massive de l’accord sur les prix de l’UE”

Solaire chinois : Quelque 1.000 pages de documents contenant plus de 1.500 offres de produits solaires chinois proposés à un tarif d’achat inférieur au prix minimal fixé entre l’Europe et la Chine ont été transmises hier par le groupement de l’industrie solaire européenne EU ProSun à la direction générale du commerce de la Commission européenne.

Les conditions relatives aux pratiques antidumping fixées par l’Union européenne sont systématiquement violées sur le marché européen. La Commission doit agir, et vite, afin en faisant cesser de telles violation d’un accord formel et en prenant des sanctions en conséquence” a déclaré Milan Nitzschke, président de EU ProSun.

L’Union européenne a imposé des droits de douane antidumping à l’encontre des importations de produits solaires chinois à la mi-2013, après que le dumping subventionné par l’État chinois ait poussé au dépôt de bilan des dizaines d’entreprises solaires européennes au cours de ces dernières années.

Afin de contourner ces droits de douane avoisinant les 50 %, plus d’une centaine de fabricants de produits solaires chinois ont proposéà l’Union européenne, au mois d’août 2013 et sous la forme d’un accord contractuel, de procéder à des importations en Europe uniquement au-dessus d’un prix dit minimal d’environ 0,56 €/W. La Commission européenne et le Conseil ont tous les deux donné leur aval à cette proposition de prix minimal sans lequel la Commission aurait dû appliquer des droits élevés à la frontière.

De toute évidence, ni des droits de douane ne sont versés, ni le prix minimal n’est respecté, et ce, de façon généralisée” .

Les parties prenantes à de telles infractions aux prix minimaux et aux droits de douane se trouvent sous la menace de sanctions considérables selon les estimations de l’initiative de l’industrie solaire européenne.

Le contrat conclu entre la Commission européenne et les entreprises chinoises prévoit sans la moindre ambiguïté que toute infraction aux conditions, ne serait-ce que légère, entraîne l’exclusion du fabricant du régime des prix minimaux. Un droit de douane d’environ 50 % est alors exigible sur le prix à l’importation” a précisé Milan Nitzschke.

L’importateur européen doit également verser ce droit de douane à une date ultérieure, le cas échéant. Dans le cas d’infractions graves aux droits de douane, des poursuites pénales sont également susceptibles d’entrer en ligne de compte.

Le régime des prix minimaux que la Commission européenne a négocié avec la Chine s’est révélé impraticable en raison du comportement frauduleux. Le dumping chinois continuera à moins que l’Europe ne décide d’appliquer ses propres décisions et règles. Nous appelons donc à l’imposition immédiate des droits de douane déjà décidée mais suspendue en raison de l’accord sur les prix” a conclu M. Nitzschke.

Du point de vue de l’initiative EU ProSun, ces pratiques commerciales mettent en jeu la totalité du régime des prix minimaux de l’Union européenne.

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La filière de l’éolien retrouve (enfin) un cadre économique stable

La filière de l'éolien retrouve (enfin) un cadre économique stableLe Conseil Supérieur de l’Energie (CSE) a approuvé le mercredi 4 juin le projet d’arrêté tarifaire éolien dont la publication est attendue dans les tout prochains jours.

Après plusieurs années de procédure juridique et d’incertitudes, les professionnels de la filière vont enfin bientôt pouvoir retrouver un cadre économique stable et sécurisé pour développer leurs projets. Toutes les étapes nécessaires à l’entrée en vigueur de ce nouvel arrêté tarifaire ont été franchies :

- La Commission européenne, par une décision du 27 mars 2014, a validé le dispositif en concluant que « [le] régime français octroyant un soutien à la production d’électricitéà partir d’éoliennes terrestres était compatible avec les règles de l’UE en matière d’aides d’État ».

- La Commission de Régulation de l’Energie (CRE), saisie mi-mai par la Ministre de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Energie, a déjà rendu son avis sur le projet d’arrêté.

- Le Conseil Supérieur de l’Energie (CSE), qui se réunissait ce jour pour examiner le projet d’arrêté tarifaire éolien, a adopté, ce projet de texte qui maintient le tarif d’achat de l’électricité d’origine éolienne au même niveau.

Nous nous félicitons de la rapidité avec laquelle la Ministre de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Energie, Ségolène Royal, et son administration ont engagé les actions nécessaires pour redonner à la filière éolienne un cadre économique stable et sécurisé et attendons, maintenant les principales étapes franchies, la publication imminente du nouvel arrêté tarifaire“, ont déclaré Jean-Louis Bal, Président du Syndicat des énergies renouvelables et Jean-Baptiste Sejourné, Président de la Commission Eolienne du SER.

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Solaire : CSUN et Frankensolar signent un accord-cadre de 50 MW

Solaire : CSUN et Frankensolar signent un accord-cadre de 50 MWCSUN, le compagnie chinoise spécialisée dans les panneaux solaires, a annoncé récemment avoir signé un accord-cadre pour la founiture de 50 MW avec KosiFrankensolar pour leurs projets en Turquie.

Les deux sociétés ont déjà commencéà explorer conjointement le marché turc.

Notre partenariat a maintenant atteint un nouveau niveau“, a déclaré Bülent Yildiz, directeur général de KosiFrankensolar à Istanbul. “Nous apprécions l’étroite collaboration avec CSUN ainsi que son attachement à la production locale“.

KosiFrankensolar est une filiale du groupe allemand Frankensolar. Avec plus de 20 ans d’expérience sur le marché photovoltaïque international, c’est aujourd’hui l’un des principaux distributeurs d’installations solaires raccordées au réseau dans l’hémisphère ouest.

L’accord prévoit la fourniture en 2014 de panneaux polycristallins à haut rendement de CSUN qui seront essentiellement utilisés dans des projets hors licence. Cet accord concernera principalement des applications au sol ainsi que quelques installations sur toiture dans toute la Turquie.

Nous sommes depuis bien longtemps partenaires avec KosiFrankensolar, dont les compétences ne sont plus à faire en Turquie. Cette collaboration, nous permettra de nous positionner mutuellement sur ce marché en plein essor parmi les pionniers européens du solaire“, a confirmé Stephen Cai, PDG de CSUN.

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Afrique du Sud : la centrale solaire de 44 MW de Touwsrivier en bonne voie

Afrique du Sud : la centrale solaire de 44 MW de Touwsrivier en bonne voieSoitec, spécialiste dans la génération et la production de matériaux semi-conducteurs pour l’électronique et l’énergie, a annoncé lundi que le ministère de l’Énergie sud-africain avait définitivement validé la modification de la structure de financement de la centrale solaire Soitec de 44 MWp installée à Touwsrivier.

En effet, celui a autorisé la participation au projet du Government Employee Pension Fund (GEPF) en qualité d’investisseur majeur à long terme.

La centrale solaire de Touwsrivier a récemment franchi toutes les étapes nécessaires à la mise en service de ses premiers 22 MW, soit la moitié de sa capacité totale. Cette étape majeure confirme le respect par la centrale des obligations contractuelles et valide les contrats d’achat d’électricité conclus pour la totalité des 44 MW.

Nous nous réjouissons de ce nouvel investissement qui contribuera à répondre aux besoins considérables de notre pays en sources d’énergie alternatives. Il permettra de réduire les déséquilibres qui pèsent actuellement sur notre secteur électrique, tout en rentabilisant l’investissement de notre client GEPF” a déclaré Mr Daniel Matjila, Directeur des Investissements de PIC.

En pratique, Soitec sera associé au Public Investment Corporation (PIC), représentant du GEPF au travers d’une structure de financement par actions. A l’issue de la période de détention réglementée, le GEPF possèdera 40 % de la centrale, Soitec ne conservant qu’une participation minoritaire à long terme.

La centrale solaire de Touwsrivier, par cette opération, prend une envergure résolument nationale. Soitec restera le seul investisseur étranger par son apport en équipement solaire et sa participation minoritaire.

La centrale Touwsrivier en quelques dates clés

- 05 novembre 2012 – Signature de l’Accord sur l’achat d’énergie

- 30 avril 2013 –Émission obligataire d’un montant total de 1,0 milliard ZAR

- 19 mars 2014 – Entrée en service d’une capacité de 22 MW

- 19 avril 2014 – Validation finale d’un financement par actions de 40 % de la centrale par GEPF.

- Commissionnement complet de la centrale solaire prévu pour le 2e trimestre de l’exercice fiscal 2015

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