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Urbasolar : lauréat de 80 MW de projets de centrales photovoltaïques

Urbasolar : lauréat de 80 MW de projets de centrales photovoltaïquesLe groupe Urbasolar constitue de nouveau l’un des principaux lauréats de l’appel d’offres national dont les résultats ont été délivrés par Madame la Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et de l’Energie.

Quinze nouveaux projets, représentant une puissance totale de 80 MWc, ont été distingués pour leurs qualités en matière d’innovation, de vertus environnementales et de pertinence économique.
Les applications concernées sont aussi bien des toitures de bâtiments, des ombrières de parking, que des centrales au sol.

Dans la catégorie ombrières, le groupe Urbasolar est le principal lauréat et sur l’ensemble des lots, il se classe au troisième rang national.

L’investissement total pour la construction de ces nouveaux projets sera de l’ordre de 100 millions d’euros, et ce programme portera le parc photovoltaïque développé, construit et exploité par Urbasolar à 300 MWc pour un montant d’investissement total de 500 M€.

Au-delà de l’intérêt inhérent à ces nouveaux projets en termes d’innovation et de partenariat avec les collectivités locales, Urbasolar se félicite de la mise en œuvre de cette vitrine des savoir-faire de toutes les entreprises industrielles françaises partenaires d’Urbasolar et en particulier du fabricant de modules photovoltaïques français SILLIA.

Cette vitrine est concomitante du déploiement à l’export d’une offre industrielle française pilotée par Urbasolar.

Par ailleurs, Urbasolar salue par ailleurs les annonces de Madame la Ministre pour la mise en œuvre d’une programmation pluriannuelle des investissements en matière de centrales photovoltaïques en France, vision qui était ardemment attendue par la filière et qui permettra à cette dernière de mettre en œuvre les investissements nécessaires.

Enfin, Urbasolar se réjouit du succès de la COP 21 et des conséquences majeures de cet accord pour le développement des énergies renouvelables dont le potentiel est enfin reconnu internationalement.

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La plus grande centrale photovoltaïque sur toiture en Ile-de-France

La plus grande centrale photovoltaïque sur toiture en Ile-de-FranceL’entreprise publique Eau de Paris a décidé de s’engager pour la transition écologique du territoire en installant plus de 10.000 m2 de panneaux photovoltaïques sur la toiture du réservoir d’eau potable de l’usine de l’Haÿ-les-Roses dans le département du Val de Marne.

Après avoir posé près de 700 m2 de panneaux photovoltaïques en façade du réservoir, Eau de Paris installera une centrale àénergie solaire de près de 12.000 m2 sur la toiture de ce réservoir d’une surface de 20 000 m2. Il s’agira ainsi de la plus grande centrale photovoltaïque sur toiture d’Ile-de-France. Sa mise en service est prévue pour début 2018.

La production annuelle d’électricité de la centrale sera de 1.600 MWh, soit l’équivalent de la consommation électrique annuelle de 500 foyers français (hors chauffage et eau chaude sanitaire). Cette électricité d’origine renouvelable sera réinjectée directement dans le réseau local et permettra ainsi d’éviter l’émission de 92TeqCO2/an, par rapport à une production d’énergie conventionnelle.

Les 2,3 millions d’euros investis sur l’opération seront entièrement couverts par la revente de l’électricité produite.

En réalisant la plus grande toiture solaire d’Ile-de-France, Eau de Paris fait une fois encore la preuve de sa mobilisation pour la transition écologique du territoire métropolitain. Au moment où Paris accueille la COP21, c’est une illustration grandeur nature de l’action de notre collectivité en matière d’énergies renouvelables” a déclaré Célia Blauel, Présidente d’Eau de Paris, qui s’est félicitée de ce succès.

Lauréate de l’appel d’offres lancé par l’Etat via la Commission de Régulation de l’Energie (CRE), Ce projet s’inscrit dans la politique d’investissement ambitieuse d’Eau de Paris pour les six prochaines années : 450 ME seront investis dans le cadre du Plan Pluriannuel d’Investissement de l’entreprise publique, dont 55 ME sont dédiés à l’accompagnement de la transition écologique du territoire.

Eau de Paris a par ailleurs adopté début novembre un plan climat-énergie comportant quatre objectifs à atteindre d’ici 2020 :

- Réduire de 15% les émissions de gaz à effet de serre

- Réduire de 12% la consommation énergétique globale de l’entreprise

- Consommer 95% d’énergie d’origine renouvelable

- Eviter l’émission de 4 500TeqCO2 grâce à la production d’énergie renouvelable.

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Le Japon et la Corée du Sud maintiennent leurs projets de nouvelles centrales au charbon

Une semaine après la conclusion de la COP21 à Paris, le Japon et la Corée du Sud ont annoncé le maintien de leurs projets de construction de 60 nouvelles centrales électriques au charbon, laissant planer le doute sur la valeur de leurs engagements pris lors de la conférence.






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Boralex sur le point d’acquérir 350 MW d’éolien en France

Boralex sur le point d'acquérir 350 MW d'éolien en FranceBoralex a annoncé mercredi avoir conclu un accord d’exclusivité de discussion avec des développeurs privés pour l’acquisition d’un portefeuille de projets éoliens situés en France de près de 350 MW.

La conclusion d’un accord permettrait à Boralex d’acquérir d’ici 2018, 79 MW de projets prêts à construire (dont les mises en service s’étaleront au cours de 2017 et 2018), 159 MW de projets à un stade avancé de développement et 118 MW de projets à des stades préliminaires de développement.

Cette acquisition conjuguée aux projets actuellement développés en interne portera le portefeuille français de projets en développement de Boralex à près de 850 MW. Ainsi, les projets mis en service au cours des prochaines années s’ajouteront aux 500 MW exploités actuellement par Boralex en France.

Cette transaction consolidera notre position de leader indépendant du marché français et confirme le marché de la France comme pierre angulaire de notre croissance au cours des années à venir” a souligné monsieur Patrick Lemaire, président et chef de la direction.

Les projets prêts à construire nécessiteront des investissements de l’ordre de 150 millions d’euros (225 millions canadiens) et profiteront du tarif réglementaire, de même que les projets à un stade avancé de développement.

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Quand l’éclair frappe à l’envers

Quand l'éclair frappe à l'enversLes coups de foudre ascendants sont initiés du sol et remontent vers le ciel. Déclenchées en général au sommet des constructions hautes et effilées, ces décharges représentent un sérieux danger pour les éoliennes. Une étude de l’EPFL décortique les mécanismes de ce phénomène mal connu.

La foudre, colère du ciel ? Pas toujours. Dans certaines circonstances, elle peut également être initiée depuis le sol. Ces décharges ascendantes peuvent facilement être différenciées des descendantes par l’inversion des branches de l’éclair, qui se dirigent vers la couverture nuageuse plutôt que vers la Terre. Phénomène mal connu, il se produit essentiellement en présence de constructions effilées implantées sur les hauteurs. Fasciné, un chercheur du Laboratoire de compatibilitéélectromagnétique de l’EPFL (EMC) a décidé de l’étudier et d’en faire même le sujet de sa thèse. Les résultats de sa recherche ont récemment été publiés dans le Journal of Atmospheric and Solar-Terrestrial Physics.

«Les coups de foudre ascendants sont observés depuis les années 1930, mais ce n’est que récemment, avec le fort développement des éoliennes, qu’il est devenu un sujet de préoccupations», explique Aleksandr Smorgonskii, doctorant au EMC Lab.

Aussi fortes soient-elles, ces décharges ne posent pas de problème aux antennes de communication ni aux gratte-ciels. Leurs structures métalliques et les paratonnerres dont ils sont équipés conduisent l’électricité du sol au sommet, d’où elle peut s’échapper sans provoquer de dégâts. En revanche, pour les éoliennes, c’est une autre histoire…

Hélices détruites

«Afin d’optimiser leur prise au vent, ces appareils sont le plus souvent installés en montagne, et qui plus est sur les crêtes, relève le chercheur. Or, hauteur de construction et altitude représentent précisément les conditions qui favorisent le déclenchement de coups de foudre ascendants. Si les mâts sont en métal, les pales des hélices sont le point faible. Non seulement elles sont longues et légères, donc fragiles, mais également faites de matières composites non conductrices. Elles se retrouvent donc souvent endommagées si ce n’est détruites par la puissante charge électrique. »

Il s’agit, pour Alexandr Smorgonskii, de décortiquer les mécanismes de déclenchement de ce type de coups de foudre, afin que l’on puisse mieux tenir compte des risques dans la planification de futurs champs d’éoliennes. Pour ce faire, il a analysé les données enregistrées durant une quinzaine d’années sur deux tours, des émetteurs radio situés aux sommets du Gaisberg en Autriche, et du Säntis, en Suisse centrale. Localiséà plus de 2500 mètres d’altitude, ce dernier est réputé pour être le lieu d’Europe le plus souvent frappé par la foudre.

Eclairs autonomes

Parmi les chiffres les plus intéressants, il ressort de l’étude que ces hautes structures peuvent enregistrer, au cours de l’année, jusqu’à cent fois plus de décharges ascendantes que de descendantes. Il apparaît également que la plupart de ces éclairs issus du sol ne sont pas liés à une activité orageuse préalable. Grâce au système Euclid, qui répertorie tous les coups de foudre en Europe, le chercheur a pu vérifier si une décharge descendante avait eu lieu dans un rayon de 50 kilomètres et moins d’une seconde avant le déclenchement ascendant. Cela s’est révéléêtre le cas dans seulement 15% des cas. Plus de 80% des coups de foudre ascendants sont donc générés de manière autonome.

«Les conditions météorologiques, notamment la température et sa distribution dans l’air, apparaissent également comme une donnée importante dans le déclenchement de ces coups de foudre», ajoute le doctorant. Pour déterminer l’exacte nature des risques, les données géographiques et climatologiques particulières à chaque site devraient donc également être minutieusement étudiées.

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Les pays producteurs d’hydrocarbures pensent aussi à l’après pétrole

Les pays producteurs d'hydrocarbures pensent aussi à l'après pétroleSol Invictus et Soltech, sa filiale, fabricant européen de modules photovoltaïques sur mesure ont convaincu des pays producteurs de pétrole de recourir à leur savoir faire en s’équipant de vastes centrales solaires.

Le 1er décembre 2015 a été inaugurée une première centrale solaire dans la province autonome du Nakitchevan en Azerbaïdjan en présence du Président de la République d’Azerbaïdjan.

D’une puissance de 20.05 mégawatts, composée de 78.700 panneaux (soit près de 40 kilomètres linéaires) et réalisée en moins de 6 mois ; Pour Olivier LEROUX, Fondé de Pouvoir du Groupe Sol Invictus, “Cette mise en service est une fierté pour notre groupe, car elle confirme notre capacitéà développer une offre intégrée dans le domaine des énergies renouvelables, de l’étude à la construction, en passant par la conception et la fabrication de modules solaire“.

L’Azerbaïdjan : le pari solaire d’un pays pétrolier

Classé dans le top 20 mondial des pays exportateurs de pétrole, l’Azerbaïdjan a prit conscience de la nécessité de s’affranchir des énergies fossiles, à la fois pour des raisons politiques et économiques, mais aussi dans un souci d’anticipation de «l’après pétrole», qui obligera quoi qu’il arrive les pays exportateurs à changer de politique énergétique. C’est aussi dans ce cadre que cette république caucasienne a souhaité faire le pari des énergies renouvelables à travers une source inépuisable : le solaire.

Le Kazakhstan a commandé aussi au groupe Sol Invictus une centrale solaire de 36 MW et via sa filiale Greenwatt une centrale Biogaz. Le Nakitchevan négocie par ailleurs une centrale complémentaire. La centrale solaire est 100% européenne et Soltech l’a réalisée avec des modules Bi-verre non cadrés.

Sol Invictus finalise de son côté d’autres opérations et en particulier un projet de 50 MW avec le président du Togo en Afrique qui désire électrifier son pays avec les meilleures techniques disponibles tant en solaire (Soltech) qu’en Biogaz (Greenwatt). Par ailleurs, Sol Invictus développe avec des Etats africains (Benin, Sierra Leone, Burkina Faso ; avec lesquels elle a des contrats ou projets de contrats) son nouveau concept : la «Fair Energy», à l’instar du concept du « commerce équitable».

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EDF EN achève le programme d’un gigawatt éolien au Québec

EDF EN achève le programme d'un gigawatt éolien au QuébecEDF Energies Nouvelles a annoncé lundi la mise en service au Québec du parc éolien de Mont-Rothery, via EDF EN Canada la filiale locale du groupe.

Ce parc de 74 MW est le septième et dernier du programme d’un gigawatt éolien attribuéà EDF EN Canada par Hydro-Québec Distribution.

Le parc éolien de Mont-Rothery est situé dans les Municipalités Régionales de Comtés (MRC) de La Haute-Gaspésie et de La Côte-de-Gaspé dans la province du Québec. D’une puissance installée de 74 MW, il est composé de 37 turbines de 2 MW de capacité unitaire.

L’électricité générée par cette nouvelle installation correspond à la consommation énergétique annuelle d’environ 15 000 foyers. Elle est fournie à Hydro-Québec Distribution dans le cadre d’un contrat d’achat d’électricité d’une durée de 20 ans.

L’exploitation-maintenance du parc sera assurée par EDF Renewable Services Inc. Canada, filiale d’EDF Energies Nouvelles dédiée à cette activité.

Mont-Rothery est le dernier de la série de sept parcs éoliens*développés, construits et mis en service par EDF EN Canada à l’issue de deux appels d’offres lancés par Hydro-Québec Distribution en 2008 et 2010 et portant sur un programme d’un gigawatt.

Avec la finalisation de ce programme d’un gigawatt au Québec, la filiale locale d’EDF Energies Nouvelles a d’ores et déjà réalisé au total 1374 MW au Canada. A cela viendra s’ajouter la réalisation d’un projet de 224 MW remporté lors d’un nouvel appel d’offres d’Hydro-Québec Distribution, en 2015.

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L’Allemagne annonce un nouveau plan d’action climatique d’ici 2016

A peine quelques jours après la fin de la COP21 à Paris, l’Allemagne a annoncé qu’elle élaborerait un nouveau plan d’action cliamtique national d’ici le milieu de l’année 2016 et se pencherait notamment sur des solutions pour abandonner progressivement l’électricité produite à base de charbon.






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ENGIE : 325 MW de nouveaux projets dans le solaire photovoltaïque

ENGIE : 325 MW de nouveaux projets dans le solaire photovoltaïqueENGIE a annoncé mercredi avoir remporté 14 projets photovoltaïques représentant 95,5 MW de puissance installée dans le cadre d’un appel d’offres organisé par la Commission de régulation de l’énergie (CRE).

Le groupe français à travers ses filiales Solairedirect, la Compagnie Nationale du Rhône, la Compagnie du Vent et Futures Energies, conforte ainsi sa position de leader dans le photovoltaïque en France avec une puissance développée, construite et exploitée de 570 MW.

Sur ces 14 projets, 4 utilisent la technologie des trackers (les panneaux photovoltaïques sont mobiles et suivent la trajectoire du soleil pour un rendement optimal) et les 10 autres adoptent a technologie de panneaux photovoltaïques fixes. Leur mise en service est prévue d’ici fin 2017. Ils seront tous développés sur des terrains non-agricoles.

Plus largement dans les énergies renouvelables, ENGIE reste leader également dans l’éolien terrestre en France avec 1.450 MW installés, mais second acteur hydraulique avec 3.824 MW installés.

Au Brésil, ENGIE a remporté récemment des enchères pour développer 230 MW dans le solaire à la suite d’un appel d’offres organisé par l’ANEEL (Agência Nacional de Energia Elétrica), agence affiliée au Ministère brésilien de l’énergie, illustrant la capacité du Groupe à proposer une offre solaire compétitive.

A la suite de ces enchères, le Groupe a sécurisé la vente de l’électricité générée par des projets totalisant 230 MW via ses filiales Tractebel Energia pour 30 MW et Solairedirect pour 200 MW. Les contrats portent sur une période de 20 ans à partir de novembre 2018.

L’électricité sera produite par une centrale photovoltaïque de 30 MW à Assu, située dans la région de Rio de Grande do Norte qui sera construite et exploitée par Tractebel Energia, et par deux parcs photovoltaïques : Floresta, d’une capacité de 80 MW, et Paracatu de 120 MW, situés respectivement dans les régions de Rio de Grande do Norte et Minas Gerais, qui seront construits et exploités par Solairedirect.

ENGIE exploite déjà plus de 10.000 MW dans les renouvelables au Brésil.

Outre ces nouveaux projets solaires et les parcs éoliens existants, Tractebel Energia développe des projets éoliens pour environ 750 MW, à travers le projet de Santa Monica (97 MW), dans l’État de Ceará, et le parc de Campo Largo, situé dans l’État de Bahia qui compte plusieurs projets éoliens pour un total d’environ 650 MW, à différents stades de développement.

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EDF EN met en service un 3ème parc éolien en Afrique du Sud

EDF EN met en service un 3ème parc éolien en Afrique du SudEDF Energies Nouvelles a annoncé mardi la mise en service du parc éolien de Waainek de 24,6 MW de capacité installée, via sa filiale sud-africaine InnoWind. En Afrique du Sud, le groupe a réalisé, à ce jour, trois parcs éoliens totalisant plus de 100 MW.

Situé dans la province du Cap Oriental, le parc éolien de Waainek d’une puissance de 24,6 MW est composé de huit turbines de 3,075 MW de puissance unitaire.

L’installation est codétenue à 60% par InnoWind (filiale à 80% d’EDF Energies Nouvelles) et à 40% par des partenaires locaux.

Conformément au cahier des charges de l’appel d’offres, une part du chiffre d’affaires généré par la vente d’électricité est destinée à stimuler l’entreprenariat et l’économie locaux.

Achetée par le gestionnaire de réseau dans le cadre d’un contrat d’une durée de 20 ans, l’énergie produite par le parc de Waainek permet d’alimenter l’équivalent de plus de 16 000 foyers sud-africains.

En 2015, InnoWind a mis en service les trois parcs éoliens (Grassridge de 61,5 MW, Chaba de 21,5 MW et Waainek) que le gouvernement sud-africain lui avait attribués en 2012.

Poursuivant son développement en Afrique du Sud, la filiale locale d’EDF Energies Nouvelles a été lauréate cette année d’un quatrième projet éolien de 33 MW.

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